Droits et fin de vie

La legislation progresse

Un sujet incontournable pour qu’une société se sente en phase avec les anciens

Prévention par l’information même la plus difficile

Le droit des malades en fin de vie a progressé notablement. Il n’est pourtant pas sans posé les questions d’équilibre, de sincérité et de jugement adéquat aux situations.

Plusieurs cas « célèbres » posent la relation à ces questions, par les voies médiatiques. Le phénomène permet peut être d’ouvrir le sujet aux discussions chez ceux qui n’auraient pas pu le faire habituellement.

Pourtant, il est important de souligner que les personnes impliquées dans l’encadrement d’un malade, d’un accidenté ou d’un individu âgé, dispose de leurs propres limitations sur le sujet de la mort et de la souffrance. Il faut y rajouter le caractère émotif de l’instant vécu, la fatigue et souvent ou parfois un manque de moyen matériel et un isolement social.

Ce qui signifie que l’information a ses limites et qu’elle pallie mais ne remplace ni l’a solidarité, ni le fait de passer l’étape.

Voici ce qu’en dit la loi et pour se mettre en à jour de celle-ci qui progresse un peu, il faut s’entourer d’un notaire ou d’un avocat par exemple. Le corps médical peut aussi apporter de nombreux éléments de réflexion.

Le caractère moral de l’accompagnement des familles est assez important dans une société. Il se réalise par un relais des « anciens » ou par le psychologue, le conseiller familial, les amis et les personnes d’écoute. Chacun prend son souffle avec ses méthodes. Parfois, il s’agit d’un repli dans le silence et le recueillement, d’autres fois, les individus cherchent la parole ou changent de vie…

Du moment qu’une chape n’enferme pas la tristesse et la souffrance, chacun s’acclimate avec ses ressources.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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Publié par JALMALV.

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