L’écologie ? !

On va finir par ne plus savoir

Nature, été, saison, eau, feu, air, pollution, prévention, salubrité, respect

Pas certain que cela soit encore possible

Il est évident que l’on nie…

Oui, nous nions que l’on mange la terre par les deux bouts…

Il y a plus de 20 ans que les plus avisés ont parlé de la crise économique mondiale qui est là, bien là. Elle entraîne d’interminables guerres, les unes plus horribles (mot faible) que les autres…

Il y a plus 35 ans (minimum), que l’on parle de faire attention à nos comportements dans les domaines de matières premières, d’énergies fossiles et de la monoculture car nous n’en connaissons pas les véritables conséquences. Pour ne citer que les points « clés » car si l’on s’abandonne au reste, la liste devient tellement longue qu’elle ne peut plus s’écrire raisonnablement. Cette fois, il est question de fuite encore plus rapide par les évidences de nos responsabilités.

Tentons-nous une disculpation en prenant des « mesurettes » ?

Il y a déjà plus de cinq années que les premiers déplacés écologiques de l’histoire contemporaine et mondiale, ont été pour certains engloutis. Pas grave, ce n’est pas chez nous ! On ne sera pas vivants lorsque le pire aura lieu…

Sympathiques perspectives pour les générations à venir. Que feront nos jeunes avec un interdit total de procréer sous risque écologique ? Ils auront une vie de galères indescriptibles, de souffrances innommables pour la survie et mourront jeunes, faute de plus jeunes qu’eux pour les soutenir dans leur vieillissement.

Ah ! Ici, j’entends un groupe qui répond que je fais du catastrophe maison et que j’agite la peur.

On peut toujours le soutenir, seulement, lorsque l’on met au monde un enfant en Europe, en général, les parents et les familles prévoient le meilleur, celui qui permet d’avoir un pédiatre, un hôpital, une école, un lycée… Une bonne éducation… De l’argent… Ce n’est pas pareil ? Là il s’agit d’un enfant dans une famille ? Le collectif, ce n’est pas important du moment qu’on a ce qu’il faut ? Et puis après moi le déluge… Et puis, on a qu’une vie… Du coup ou pour le coup… On fait son petit truc en ne regardant même plus la tête de la boulangère dont on mangera pourtant le pain !!

Vous avez raison et pour être convaincu, changez de lectures ou de chaînes de télévision. Lisez, regardez, d’autres le disent aussi et moins gentiment. Sur !

Sylvie.Michèle.Briere-2024

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice usant de son droit légitime à l’expression.


Définition

futura-sciences.com/planete/definitions/developpement-durable-ecologie-133/

Le terme écologie — qui nous vient du grec oikos signifiant maison et logos signifiant science — a été inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel. Il désigne la science qui étudie la dynamique des populations et des peuplements (animaux, végétaux ou microbes) et le fonctionnement des écosystèmes et des paysages (cycle de matière, flux d’énergie). C’est la science qui s’intéresse aux relations des êtres vivants entre eux et avec leur environnement.

Ainsi l’écologie s’appuie sur des disciplines telles que la génétique, l’éthologie, la géologie ou encore la climatologie. Car l’écologie est une science holistique qui se soucie non seulement des interactions entre les éléments d’un système, mais encore de l’évolution de ces interactions en fonction des modifications apportées à leur environnement. L’objectif des écologues — encore appelés écologistes, même si le terme est devenu ambigu — est donc de déchiffrer la complexité des écosystèmes naturels.

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