La violence, ses excès, ses manques

La souffrance et ses 1res solutions

« La violence est partout », entent-on. Oui et non, il y a plein d’endroits où elle est absente et personne ne la réclame. Comment se met-elle en route dans la tête d’un humain ? La question reste posée et on y apporte des solutions provisoires.

Prévention par une forme d’info

La violence est une donnée répandue, ancestrale et qui intègre des conséquences parfois irréversibles.

L’agression peut venir d’un simple regard croisé, d’un refus de donner une cigarette… Les motifs sont multiples et infinis.

Face à ce phénomène, l’ensemble des structures sociales et la population se sentent parfois impuissantes.

Nos sociétés, les individus sont en perpétuelle concurrence. Nous développons ces rapports, en famille, en société ou sous d’autres formes, toutes générations confondues et quelque soit le lien avec.


Pour reprendre une idée énoncée par un ensemble de spécialistes (anthropologues, sociologues, psychologues…) mais aussi par les gens de bon sens, le constat de la sédentarisation de l’être humain est claire. Les voyages sont légions de nos jours mais ils s’exercent par des moyens faciles et rapides, sans transition, ni efforts physiques bruts ou presque. Ils ne sont pas en rapport direct avec la chasse, la pêche ou la culture pour la plupart du temps. La production devient de plus en plus cérébrale ce qui a un double effet. Celui de canaliser mais son revers est…


Le sujet devient tellement important, voire envahissant, de nos jours dans la conscience de chacun et la peur qu’il suscite engendre de telles conséquences qu’il faut y porté une attention particulière et renouvelée.

Une violence, qui est commune à toute l’humanité, est la violence symbolique. Elle prend parfois la place de la véritable relation altérée et forcée car son imaginaire devient une emprise sur l’individu sensible à sa menace.

L’idée de la violence entraînant une manifestation de celle-ci par le refus de l’autre (pas soi) et tous les processus de rejet qui vont avec. Ils se mettront en place et ne pourront que grandir si on ne les arrête pas.

Pour cela, il faut un « Doudou » universel qui a le don de…


« Si la violence remplit la même fonction que l’autorité - à savoir faire obéir les gens alors la violence est autorité » (H Arendt La crise de la culture, Paris, Gallimard, 1954).


On peut tous parler de la violence pour pouvoir l’exercer sur l’autre. Les buts de cet usage sont généralement peu conformes au dialogue ou à la compréhension. On ne peut pas prôner une forme de raison et établir la violence comme langage. Il est impossible de taper sur la tête d’une personne et de lui dire : « je le fais pour ton bien ». Ici, le bon sens n’est pas au rendez-vous et chacun le sait très vite dans l’enfance.

Parlons de la démocratie, au sens moderne du mot, elle dit cette démocratie, que l’on égalise plus ou moins les droits et les devoirs de chacun. On peut toujours l’écrire et tenter d’y rêver car plus on la réclame et moins on l’obtient, semble-t-il.

Si l’on y réfléchit encore un peu plus : est-ce démocratique d’être peinard dans ses chaussons après que la rue se soit rempie de morts ?

Le calme est une force.

La force est de ne pas plier devant la violence…

C’est vite écrit cette affaire-là mais beaucoup moins facile à faire et pourtant, c’est le début d’une solution !!

Sylvie.Michèle.Briere-2024

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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