Nos différences, qu’en faisons-nous ? - Réflexion

Société, opinion, position, prévention, France, humain, échange, construction, mixité, mélange, variété

  • - Cet article est rédigé pour ce qu’il est et ne prétend pas l’absolue connaissance.
  • Ou débats d’idées.
  • - ’La première violence faites aux femmes est de les prendre pour une espèce à part !’
  • - La deuxième est de leur donner un régime de défaveur comme de vendre leurs corps, de nier leur travail, leur parole et leur intelligence mais aussi de leur appliquer des faveurs, en faisant d’elles, des déesses imaginaires ou vivantes.
  • Les deux tendances étant totalement naturelles au développement psychologique de l’être humain, elles ne sont pas prêtes de changer pour tous, sauf si on les dégage de la peur qu’elles engendrent.
  • Il en va de même pour l’imaginaire de force, d’autorité ou de tant de qualités attribuées spontanément et exclusivement aux hommes. Lorsque la femme s’en voit honoré, il y a toujours un caractère d’exception, d’étonnement ou un qualificatif comme ’pour une femme’.
  • Il faut juste comprendre qu’une femme n’est pas un homme et inversement, sans rajouti, rajouta…
  • Constat pur et dur.
  • Dans l’histoire de l’humanité, on a eu beaucoup de difficultés à intégrer que le bébé et l’enfant pensaient ou ressentaient. Les débordements conduisent, actuellement, à en faire des personnages couronnés dès la naissance. Ce qui est assez destructif car aucun humain n’est ni bien, ni mal, juste parce qu’il est masculin ou féminin ou riche ou pauvre ou sur la base de bien d’autres critères synthétisés ou partiels et aléatoires. Dans cette logique, l’approche risque de ressembler à des théories de divisions et quand elles sont très éloignées d’une écoute sociale, l’aboutissement en est l’extrémisme de toutes parts.
  • L’idée de prendre soin des femmes et des enfants est une belle solidarité, pour laquelle, on peut voir un simple phénomène naturel de protection de l’espèce.
  • Il ne faut pas non plus sous-estimer l’importance de la préservation de l’homme car il semble que sans lui, l’humanité n’aura pas de suite…
  • Les discriminations s’appliquent également dans la gent masculine qui d’emblée en exerce une multitude, en interne, dont elle ne parle pas car « cela ne se fait pas entre hommes de causer de ses problèmes ». Oui, nous en sommes encore là !
  • Mais en exposant uniquement ceux des femmes ou féminisant les hommes (par imitations de gestes féminins), on n’a pas encore les solutions adéquates. Certains débats doivent et doivent se tenir en milieu fermé, pour ne faire sortir que de belles et solides conclusions.
  • Il ne faut pas voir dans ce constat une incitation à l’atermoiement mais bien une tentative de stopper les silences destructeurs car à eux seuls, ils permettent un perpétuel recommencement.
  • La virilité s’associe, aussi, à des actes peu recommandables depuis la nuit des temps et produit une peur transmise de générations en générations, de façon très instinctive et sans discernement, elle s’associe à l’homme, le père, le frère, le fils… Est-ce bien flatteur de régner par la terreur, potentielle menace planante ?
  • Détruire pour construire paraît une option ou un passage curieux et ne ressemble pas à une profonde et grande autorité naturelle. Malheureusement, l’humanité est encore très loin de pouvoir se dispenser de la force physique et armée pour perdurer.
  • _ Ok, Madame met bébé au monde et Monsieur lui donne son nom.
  • Ok, nous sommes tous mortels.
  • Ok, nous avons entre la naissance et la mort, un tas de trucs à faire pour être un humain valable et parfois pour survivre.
  • Ok, il n’y en a pas pour tout le monde mais parfois il y en a de trop.
  • Ok, nous ne sommes pas parfaits.
  • Ok, on ne sait pas sur qui on tombe.
  • …/…
  • En plaçant L’AUTRE sur une sphère différente, on l’oblige à changer.
  • En prêtant à L’AUTRE, tous les maux de la terre ou en ne lui donnant pas les moyens de vivre ou de se réaliser tranquillement :
  • 1 - Il risque de vouloir le faire,
  • 2 - Il peut en développer une haine profonde ou une belle créativité,
  • Et si l’on réfléchit un peu lorsque quelqu’un verse dans la haine, il détruira. Lorsque qu’un individu opte pour une nouvelle créativité, il obligera un groupe à éclater son mode de fonctionnement, également, mais dans un autre sens, avec d’autres effets.
  • Penser que puisque l’on est une femme ou un homme, la supériorité, l’honnêteté ou l’intelligence en sont automatiquement déterminées d’avance, par le sexe… C’est vraiment manquer de confiance en soi ou vouloir tout s’approprier.
  • La concurrence et faire ses preuves sont obligatoires pour vivre en famille et en société, par contre voici ce qui n’est pas essentiel :
  •  ’on est tous des criminels qui s’ignorent’,
  • ’Il n’y en aura pas pour tous’,
  • ’La vie est trop courte pour être gaspillée’,
  • ’je suis le plus fort, le plus beau et j’ai toujours raison’,
  • ’l’autre est un con, un moche, un voleur..’
  • Arrivé à un certain âge, on ne joue plus à se faire peur ou alors on le fait dans des circonstances amusantes et ludiques devant un film d’horreur. De la même manière, si l’on a de l’énergie à revendre on fait un sport, on écrit des livres ou on chante. Et il est recommandé de ne pas frapper sur quelqu’un ou de vouloir le tuer, cette dynamique-là, personne n’en veut pour soi donc comment la souhaiter pour les autres ?
  • L’endroit où tout le monde ou presque, ne va pas être content de l’évidence, est dans le constat de l’agitation des peurs.
  • Voici un exemple très simpliste :
  • Un monsieur se rend dans un service social pour demander de l’aide. Il obtiendra tout de suite un ensemble de soutiens logistiques efficaces. Non pas qu’il soit spécialement en charge de famille mais juste sur quelque uns de ces critères :
  • 1 - Risques de suicide accru (violence à ou sur lui-même),
  • 2 - Risques de violence directe sur son entourage,
  • 3 - Risques de violences sociales.
  • Lorsqu’un homme parle, il vaut deux femmes, au moins, sur la base du potentiel de colère qui peut conduire à des violences physiques avec d’éventuelles atteintes irréversibles.
  • Lorsqu’un homme se met à assassiner en série d’autres êtres humains, on lui voue des ’qualités’ de maladies mentales diverses et variées. Le simple ’consommateur d’infos’ retiendra l’idée que l’excuse des actes du criminel est toute faite… avec la suite logique d’irresponsabilité’. Si les actes sont commis par une dame, nul n’excusera sa folie car elle devrait comprendre en tant que femme et ainsi de suite…
  • Les journalistes font pourtant de grandes études et ont un devoir d’informations mais aussi de déontologie. Ils ne devraient donc pas s’ériger en censeur avant qu’un quelconque jugement n’ait été prononcé. Ils sont sensés offrir des constats et aller vers des ouvertures.
  • De même, les spécialistes doivent s’en tenir à des conclusions entre eux, sauf si elles s’accompagnent de précisions capitales comme le fait que la paranoïa ou la schizophrénie n’excusent pas tout et ne permettent pas non plus la peine capitale pour l’auteur mais conduit à une ’punition’ claire et nette, sans remise de quoi que ce soit pour la victime. Elle n’aura jamais, ou presque, de sursis et d’oubli, surtout si elle est très jeune. Elle devra vivre avec cela. Elle pourra parfois le dépasser mais quel travail ! Et cela peut avoir lieu dès sa naissance à cette victime, de même elle peut être mourir sans rien comprendre, sauf la souffrance de son décès !
  • Face à cela, il est inutile de transformer l’auteur en victime : une mère qui tue son enfant, tue son enfant, chacun est responsable. Après que l’on cherche, pour elle, ce qui l’a amené à cet acte est une autre étape qui parle de démocratie et d’égalité. Mais l’enfant est mort.
  • Un homme qui commet des délits de viol ou de violences conjugales est l’auteur des faits. Ensuite, on voit pour lui comment il en est arrivé là, en huis clos après jugement des actes.
  • L’enfant et la femme de ces deux exemples, même si il y a prétendues responsabilités par leurs comportements respectifs insupportables, sont victimes de violences qu’ils ne peuvent pas gérer et pour lesquelles, ils ont besoin d’être secourus. ’La trempe pour ton bien’ est une idée étrange. Très généralement, une discussion, une punition ou une séparation sont des options offrant de meilleurs résultats.
  • Évidemment, il faut essayer de ne pas en arriver là. Plusieurs formes de soutien sont à mettre en place avant ces stades et elles font partie intégrante de l’’évolution de l’humanité, de la société et de l’individu. Pour le moment, nous n’éliminons pas totalement les risques et toutes les solutions réfléchies, construites et raisonnables seront sans aucun doute les bienvenues.
  • Une chanson, un écrit, un loisir, un travail, les services sociaux, un psychologue, la pratique d’un sport… et tant d’autres méthodes, constituent des palliatifs face aux dérives. Il n’est sans doute pas nécessaire que l’un de ses moyens se définissent comme le seul et unique sauveur. La diversité est garante d’une guérison lorsqu’elle est nécessaire. Même, les médecins disposent d’outils multiples et l’on ne donne pas à manger la même chose à toute les créatures vivantes.
  • L’humanité en est encore là.
  • Pour revenir au sujet homme/femme, si une malheureuse dame résiste et dénonce son insupportable, elle sera prise au piège d’un tas d’élucubrations sociales ou familiales où on lui demandera de ne pas faire de vagues car les femmes sont supposées canaliser la violence par leur ’douceur’ naturelle et surtout leur silence et même leur soumission.
  • Inutile d’imaginer, que les hommes n’ont pas leur code d’honneur et leurs pressions relationnelles, non pas du tout. Par contre, elles s’orientent sur des notions de puissance et de pouvoir, de domination et de virilité, auxquelles on attribue collectivement une note positive. Si un homme veut en échapper, il ne lui restera qu’à assumer une image de mauviette, de petite nature ou de fille !
  • Le pouvoir du sexe est un phénomène constant car une femme qui prend des décisions seule ou qui pense, est qualifiée de dangereuse, manipulatrice ou totalement déviante.
  • Tous ces raisonnements ont en commun des idées préconçues mais également, une bien mauvaise opinion de l’autre, en général. Le but inavoué tient sans aucun doute à la place que l’on se donne soi-même, à savoir, être parfait et les autres nuls. Très binaire ou restreint ce mode mais il revient en force depuis quelques temps, à moins que sa conscience ne se fasse plus pointue qu’à l’accoutumée.
  • La tendance actuelle anime aussi cette idée : toute personne présentant des curiosités ou des interrogations devient un potentiel alarmant. Les compartiments sont rassurants et les dépassements sont inquiétants. Voilà de bien grandes peurs qui se cachent derrière ce genre de visions : tout doit être organiser dans des structures affectées à cela, les initiatives personnelles sont supposées dangereuses et subversives. Le simple fait d’émettre une idée originale ou justifiée, paraît une révolution.
  • L’argent ne stabilisant plus personne, les populations deviennent des traumatisées qui s’ignorent. Il est question à cet endroit d’un phénomène identique à celui d’une catastrophe naturelle ou d’une guerre car sans argent, l’ensemble des populations touché est relégué à une pauvreté de plusieurs niveaux : sociale, médicale, éducative et d’instruction, de survie de premier degré. Cela les conduit directement au vol, à la prostitution, à la maladie, à la violence et à une maltraitance chronique qui aboutit à la mort.
  • Pour en revenir à notre rapport homme/femme courant et insidieux, la boucle se ferme et conduit en ligne directe à une forme de prostitution nommée soumission, autant morale que physique ou au pire à la mort et au pire du pire, à une survie culpabilisée et culpabilisante, au mieux à rien (ce qui est peu probable). La dame sera une victime consentante où l’auteur des faits pourra recommencer en toute grandeur d’impunité. Elle devra, pour se dégager de cet enfer moral, social et familial, effectuer un travail intérieur qu’elle n’a peut-être pas les moyens de réaliser et que souvent l’humanité transporte inconsciemment, pour le reproduire.
  • Il en va de même pour tous les actes nuisibles graves commis entre individus qu’ils soient hommes ou femmes. La particularité de la dominante masculine se place, comme énoncé ci-dessus dans la force physique brandie comme une menace latente, et découle sur un déversement de toutes formes de problèmes sur la femme, rendue responsable sur l’articulation de ce principe universel. Les exceptions existent, sans quoi les femmes ne seraient pas en vie ou elles seraient des êtres inanimés et les hommes, des individus insupportables.
  • Mais à travers le monde, les idéologies transportent une kyrielle de clichés, tabous et croyances sur les femmes qui sont toutes très injustifiées et aléatoires. Elles parlent souvent de pureté ou de santé mentale et de divagations uniquement liés au sexe.
  • Alors que d’emblée le garçon est un Homme !
  • Le déni mondial des exactions, majoritairement masculines, est un sport terrestre absolu. Il est rendu obligatoire à la femme de résoudre ce sujet car elle met au monde l’enfant et est donc à l’origine de l’action responsable, dont ON la rend coupable seule, pour la plupart du temps. Tu n’avais qu’à pas…
  • La théorie est assez curieuse.
  • Elle aurait tendance à se transformer en donnant à l’enfant une place centrale mais ce phénomène ne s’applique pas partout. Certaines nations vont jusqu’à « trier » les naissances par sexe et l’on parlera de foi et de croyances profondes… ?
  • Impressionnant, l’ensemble de ce raisonnement et il y faut un regard plus pointu par le nombre d’individus et la profondeur de l’analyse pour réussir, enfin, à en faire un souvenir et une erreur de jeunesse de l’humanité.
  • Pourquoi reconnaîtrait-on les génocides, alors ? Juste pour se faire plaisir ou se déculpabiliser ? Non, le sens est bien plus profond et la volonté bien meilleure : l’humanité tente de ne pas refaire ses actes destructeurs.
  • Sans quoi cela se nomme un engrenage, conscient ou pas, qui conduit à une culpabilité, consciente ou pas, ou à un mode d’actions et de pensées ataviques, indissociables de certains privilèges liés aux rapports de dominants-dominés.
  • La lutte des classes tient à ce principe.
  • Et sauf erreur, l’humanité tente de vivre en paix plutôt qu’en guerre pour sa majorité. Le citoyen du monde veut la paix, même si il n’en est pas toujours un bon acteur.
  • Il faut donc continuer à trouver les solutions de sa mise en place quasi définitive car, le voilà, le véritable avenir de nos générations futures.
  • Une personne volontaire ’rapporte’ pourtant plus qu’une personne contrainte… Cette déclaration va à l’encontre de toute l’histoire de l’humanité qui n’arrête pas ’d’accoucher dans la douleur et la peur’. Quelques tentatives, pourtant nombreuses, ont été faites pour soulager cet inconscient collectif récurrent mais l’avancée est lente.
  •  Il faut y rajouter un phénomène naturel aux femmes qui est de dire qu’elles oublient et pardonnent à leur enfant et leur conjoint de leur avoir donner une épreuve aussi lourde, puisque c’est pour la bonne cause. Le double effet qui s’en suit est qu’il est possible de recommencer à souhaits : faire souffrir pour naître ! Faire mourir pour vivre !
  • Une autre légitimation se greffe : elle consiste à valider un oubli, sans amnésie profonde, puisque le phénomène se reproduira jusqu’à la fin des temps, par les nouvelles naissances transporteuses ataviques mais aussi parce le « travail » de ce blanchiment n’est pas souvent exécuté jusqu’au fond.
  • L’autre versant est l’aptitude à la conquête vers l’extérieur ou l’autre, ou le ’ailleurs’. Même les animaux dispose de cette tendance, qui si elle est raisonnable, en est amusante : aller chercher ailleurs ce que l’on a sous le nez, en pensant que c’est toujours mieux plus loin. Ce phénomène permet des avancées assez subtiles et fortes autant que le plan de la pensée que de l’action mais il possède un inconvénient fort qui consiste à fuir et idéaliser.
  • Comme la généralisation n’est pas une bonne idée, il faut constater que certains font des efforts pour vivre sur des critères plus élaborés. Ils parlent et appliquent la notion de partage avec plus ou moins de succès ce qui permet une recherche sur soi profonde et une relation à l’autre qui ouvre beaucoup de solutions.
  • Nous y arrivons…
  • Donc les crises économiques sont du pipeau, sont juste un mal être profond et collectif qui accouche dans la douleur et finit par être oublié… puis recommencé. L’origine étant d’une complexité déconcertante que personne ne s’y retrouve mais aussi, personne ne veut se pencher sur elle par une multitude de dénis.
  • L’ère moderne, étant moins primitive dans certains domaines, procure des conforts insoupçonnés ou mal visualisés à ce jour. Ces conforts sont la mémoire collective et ses relectures.On ne recommence plus à l’infini, sans tirer des conclusions épanouissantes !
  • On a commencé à installer ou réinstaller la reconnaissance de « l’accouchement dans la douleur » (accouchements et/ou réalisations difficiles) et de ses conséquences sur la santé morale de l’humanité, puis on partage cela et on oublie, ensemble, car la nature est comme elle est…
  • il s’agit d’un lavage de traumatismes liés à la naissance sur cette terre (mère que l’on rend aussi responsable).
  • Si quelqu’un dit que je raconte des histoires à dormir debout, qu’il vienne me donner une solution meilleure et surtout définitive !
  • Sauf erreur : 1 – trop de gens souffrent profondément. 2 – La situation a ses urgences !
  • Il semble bien que l’objet de toutes les convoitises de l’humanité se place dans la sexualité (tout le monde et toutes les ’philosophies ou sciences’ et religions en parlent). Cet enjeu engendre (à son tour) des conséquences incalculables, telles que la logistique alimentaire ou le pouvoir, pour ne citer que celles-là.
  • Le sujet de la perversion n’a pas été abordé (non reconnue comme maladie mentale) alors que je le considère comme à l’origine de la négation du ressenti de l’autre et pratiquement au commencement de toutes les déviations mentales de toutes natures.
  • Elle a pour départ le manque de conscience de solutions, autres que la projection de SA souffrance sur un passant connu ou pas et que l’on agite comme un objet. Ce qui fait dire aux spécialistes que le bourreau n’est pas entièrement responsable…
  • Extension : l’homme n’est pas responsable de la naissance puisque le sperme s’évacue par acte naturel et irrépressible ou presque… et que la femme expulse volontairement l’enfant…
  • Là où cela se complique, c’est dans les condamnations de l’avortement et la culpabilisation universelle de la femme a donné la mort par cet acte.
  • A cet endroit s’agite deux notions : la perversion qui consiste à interdire à l’autre, un droit de choisir sa propre survie et l’obligation qui lui est faite par ce biais de sauvegarder l’espèce à ses dépends.
  • L’autre versant se vit dans la mise au monde de l’enfant par la femme et ce qui le conduira inévitablement à la mort.
  • Et enfin, il y a le déni du nombre quantitatif de morts que les hommes ont sur la conscience mais également les méthodes… Et cela ne doit plus faire partie d’une prise d’otage intellectuelle du monde.
  • Le débat est ouvert ici, maintenant.
  • La réalité est que lorsque l’on repose sur le respect, la reconnaissance et le dialogue, on est déjà dans un autre univers et on dispose même de réponses solides et adaptables. Même si elles sont parfois radicales ou désagréables à envisager, on est paré pour soi et pour les autres. Tout est beaucoup plus calme, résolu et porteur… Il suffit de tenter pour voir, après on ne s’en passe plus !
  • Sylvie BRIERE
  • 2 mai 2012
  • ________
  • _ En terre jihadiste les femmes ont dit ou disent non et les hommes en deviennent fous.
  • En terre démocratique, les femmes disent non et les hommes se ’féminisent’ ou sont seuls… = boom
  • Les femmes généralement demandent juste à être elles mêmes.
  • Les débordements viennent d’une accumulation et des doubles, triples journées des femmes ou leur enfermement (maison, chef de bureau ou rôle).
  •  La femme est création (bb) et la ’coincée’ l’aliène. Ne pas la protéger l’altère
  • En la laissant être créative, tout en la protégeant et en lui laissant une liberté, elle est productive. (freine les ardeurs)
  • Le rôle de l’homme est de poser sa main sur elle et pour longtemps mais juste en douceur.
  •  Voila une base assez généraliste mais la radicalisation de l’homme vient du fait que la femme est ’enfermée’ et inversement. Sa liberté fait peur à l’homme car la liberté au sens féminin n’est pas celle du sens masculin…
  •  
  • Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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