Réflexion pensive sur la corruption
Une banque est tenue au secret professionnel… Jusque là rien d’anormal et plutôt une bonne nouvelle mais que fait-on quand les comptes bancaires deviennent des cibles ? On réfléchit à comment on en arrive là.
L’insécurité numérique et le hacking venus d’ailleurs sont probablement des vérités, par contre, il faut bien au départ que quelqu’un repère et déclenche sur la base de véritables données. Il semble également que pour être un hackeur de banque, il faille être hackeur mais aussi éduqué en finances et gestions bancaires…
Voilà, il s’agit juste d’une réflexion pensive car en avançant, l’impression que le hackeur s’acharne et tri ses victimes devient une réflexion flippante.
Le soir est fait pour se faire peur ou inquiéter les hackeurs, vieux et jeunes associés, pour remplir des poches qui veulent quoi ?
Et faire croire que leurs victimes sont elles-mêmes en faute pour mieux leur prendre ce qui est à elles ? C’est juste une réflexion pensive qui exprime quand même que de dire non à une personne une fois vaut beaucoup d’ennuis mille fois… Genre l’argent facile que l’on refuse car on sent bien que ça craint sérieusement.
Souvent, le hackeur s’associe à un collaborateur qui vient chez vous par une démarche légitime et qui finit par vous engouffrer dans un chantage ni vu, ni connu et qui se nomme « corruption ».
Dire non à cette méthode vaut plus que de lui dire oui.
Non, il n’y a que vous qui en êtes la cible ou presque (il y a quelques intermédiaires manipulés ou pas pour passer le message).
Dire oui, l’implication devient nationale et bien plus
Pas facile l’humanité.
Auteur qui ne veut pas être corrompu et reste donc anonyme
France Prévention vous propose de finaliser le sujet par son autre article :