Cybercriminalité sur mineurs 2

Ou comment faire vigilance

Des dispositifs performants permettent de qualifier un grand nombre de faits interdits, sur le WEB.

Pour compléter vos approches

Cybercriminalité sur mineurs 1


Chers parents, Vos enfants sont magnifiques et le problème est bien à cet endroit. Sur les réseaux, les prédateurs sont bien plus souples en informatique que vous. Ils sont aussi préda et vos enfants les intéressent !!

Croyez-vous qu’un terroriste soit attendri par cela

Prévention par la publication de l’information

Ce sujet a été traité dès nos premiers pas associatifs. Nous considérons que la protection de jeunes et enfants est une affaire de groupe et de société .

  • Lutte contre la cyberviolence : « Il faut maintenir le dialogue avec l’adolescent »

Home ACTUALITE Société Par Emmanuelle Germain

INTERVIEW - Selon une enquête de l’Éducation nationale, la cyberviolence se développe dans des proportions inquiétantes dans les collèges. Yann Leroux, psychologue et membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, donne quelques conseils aux parents pour identifier ce phénomène.

LEFIGARO. - 14% des collégiens déclarent avoir été insultés ou humiliés par SMS ou internet en 2013, un chiffre qui a augmenté de 5 points par rapport à 2011. Ces résultats sont-ils alarmants ?

Yann LEROUX. - C’est une alarme à prendre dans le bons sens car on a les moyens de réagir. Ces résultats semblent aussi illustrer l’utilisation plus grande des adolescents des nouvelles technologies et des réseaux sociaux. Le harcèlement est une vieille histoire dans les écoles. Aujourd’hui, on constate que les victimes de violence sur les réseaux sociaux sont souvent victimes d’autres formes de violences, qu’elles soient psychologiques ou physiques. Cela rappelle qu’il n’y a pas deux mondes distincts, avec d’un côté un monde civilisé hors ligne et de l’autre un monde numérique sans règles, mais que l’on vit bien dans un monde hyperconnecté. Les violences tangibles ont des conséquences qui se traduisent sur les réseaux.

Quels conseils peut-on donner aux parents pour identifier ce phénomène ?

Il n’y a pas de signes univoques liés à la cyberviolence, les adolescents peuvent rester silencieux. Il ne faut pas noircir Internet mais maintenir le dialogue autour de son utilisation lors de discussions banales. L’adolescent n’est pas l’ennemi, il reste toujours ce beau bébé ! Il faut prendre le temps de parler de ce que vivent les enfants sur les réseaux. Cela peut-être en posant une question sur la dernière vidéo drôle qu’il a vu ou bien lui demander ce qu’il a repéré d’intéressant. En intégrant la vie numérique au monde familial, l’adolescent est encouragé à parler en cas de problèmes et les parents plus facilement alertés.

Quelles peuvent être les conséquences chez les cyberharcelés ?

Elles sont les mêmes que pour un adulte harcelé sur son lieu de travail. Le cyberharcèlement peut avoir des conséquences négatives sur l’estime de soi et en terme d’isolement social : la victime peut se refermer sur elle-même et penser qu’elle est responsable. Des dépressions peuvent ensuite se construire. Pour éviter ces cas extrêmes, les adolescents doivent se tourner vers des adultes, que ce soit un enseignant, un éducateur ou les parents. Si les faits sont graves, comme des menaces de mort ou l’exposition d’une image de l’enfant, il faut déposer plainte et laisser la justice faire son travail.


Il est primordial que nos jeunes se respectent et soient respectés. Une insulte n’est pas insignifiante lorsqu’elle devient une habitude et/ou un silence.

Mais aussi, il y a bien d’autres moyens de s’expliquer dans la vie, autre que par le biais de médias indirects ne permettant pas la résolution d’un éventuel litige puisque le sens est unilatéral. La vigilance revient aux parents en premier, soit ? mais aussi aux adultes en général et aux décideurs. C’est une affaire de société.

Nous nous devons de soutenir nos enfants.


3018

le numéro national pour les jeunes victimes de violences numériques

https://www.internet-signalement.gouv.fr/PharosS1/

Signalement cybercriminalité - Informations utiles

Les démarches contre la cybercriminalité

UNE ÉTUDE MENÉE PAR L’ÉDITEUR BITDEFENDER MONTRE QUE LE TEMPS PASSE SUR LES SMARTPHONES ET LES ORDINATEURS EST DE TROIS HEURES PAR JOUR A L’AGE DE 5 ANS.


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