La Reconnaissance pour quoi faire ?!

Relation, humanisme, communication, évaluation, échanges, société, prévention, émulation, groupe, cohésion

RECONNAISSANCE

Elle débute à la naissance : reconnaître son enfant et lui donner un nom. Voilà un point distinctif d’avec le monde animal, dont le mode de reconnaissance de la descendance, est beaucoup moins formalisé et décidé. Ce qui est sympathique est la suite. Sur cette consécration, nos sociétés humaines y ont rajouté beaucoup d’éléments : revendication, appartenance, sang, race, supériorité, infériorité, consanguinité… mais aussi clan, chaleur, groupe, famille, solidarité…

La reconnaissance, normalement, devrait s’infiltrer un peu partout et faire le lien avec la politesse. Il n’est pas question, ici, de condescendance et de son versant d’exagération mais juste d’un signe, d’une parole incitatifs à l’acceptation d’un don ou d’un travail, d’une avancée que les uns ont pu offrir aux autres.

Dans les périodes troubles, plus personne ne pratique cela par peur d’être absorbé et même avalé. Le partage homologuant la reconnaissance, tout le monde croit devoir y perdre sa dernière chemise et pourtant, la dame se manifeste sous des aspects comme un sourire, un merci, un compliment… Qui a parlé que ces trois-là sont éternels et embringuent sur la vie et la mort ?

Et il y a aussi la reconnaissance de dettes. Elle fait suer celle-là, qu’elle soit justifiée ou pas. Lorsque le mot s’apparente à la célébrité, plusieurs réactions chimiques se mettent en route. On parle de jalousie, d’envie, de béatitude et d’admiration mais encore de commentaires de tout bords, de rapt, d’esprit de corps et ainsi de suite. La reconnaissance célèbre mobilise ses foules d’où sa rareté du vivant du reconnu. Les raisons sont encore tellement nombreuses mais en voici quelques unes : ça écorche l’esprit, il faut versé les droits d’auteurs, accepter que l’autre est plus malin, beau ou talentueux ou alors les émules se mettent en route et font des copies conformes ou pas par reconnaissance du modèle d’origine.


Prévention par les bonnes vieilles recettes

Un principe de base, pas trop compliqué et pourtant souvent inaccessible est :

L’établissement de la reconnaissance, reconnaissance témoignée par des mots et confirmée par des actes.

Comme disaient nos chers grands-parents : ne pas cracher dans la soupe.

L’un commence, l’autre suit et le premier recommence…

Le principe de recevoir une gifle et d’en accepter une autre appartient à un autre temps.

Nous ne sommes plus non-plus des guerriers aux armes acérées.

Ne devenons pas des « méninges enflammées » qui utilisent tous les stratagèmes de destructions invisibles sur l’autre.

Revenons à notre reconnaissance, elle est intéressante par sa capacité de conquête.

Elle s’adresse à tous et toutes sans distinction d’âges ou autres critères.

Elle est passionnante car sans fin, source intarissable, relais assuré, tout au long d’une vie, d’un bout à l’autre de la Terre…

Comment s’établit-elle ?

Par l’écoute, l’acceptation de la réponse et la dynamisation par la curiosité formulée par une simple question. Et re écoute, re acceptation et re dynamisation.

Gratuit, ludique, sportif quand on est pas d’accord… tout sauf inutile.

Une forme primaire de prévention et de prise de bonnes habitudes.

On ose valider par la reconnaissance.

Voulez-vous essayer ?

Cela ressemble à une recette, vous pouvez y mettre plus ou moins de sel, de chocolat, vanille et ainsi de suite, en fonction des apprentissages, du moment…

Les régimes, allergies, maladies, goûts, tout s’adapte.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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