Le chômage, y a-t-il une peur du lendemain ?

La valeur du travail

Le travail est synonyme de valeur et il s’oppose au chômage comme une contre-valeur. C’est souvent sous cet angle.

Chômage et conséquences

Prévention par le partage de « trucs » que l’on n’aime pas ou qui font réfléchir et avancer par une nouvelle façon de vivre

Le chômage est un phénomène en pleine expansion et engendre de multiples effets sur l’individu, la famille et l’ensemble de la société. Parfois, certaines de ces conséquences sont réparables et parfois elles sont irréversibles, voire fatales.

La perte de revenu, la baisse du pouvoir d’achat ou la réduction du train de vie en sont les premiers contre coups.

L’individu se déstabilise. Un changement de comportement, des difficultés morales allant jusqu’à la perte de la dignité, des repères, parfois un divorce et un repli sur soi ou de l’agressivité….

William Jules MBASSI


Réalités

Nous voici en 2015, fin juin, la situation de l’emploi ne s’améliore pas et même, elle est âpre.

Un chômeur par famille au minimum voire plus.

Les séniors voient leur espoir de retraite douce et tranquille, totalement remis en cause.

Les juniors doivent sans doute faire ce qu’ils peuvent pour grandir.

Les jeunes adultes, eux, voulaient démarrer comme leurs parents. Ils savent depuis un moment que cela ne sera pas si facile. Mais il y a pire, il n’arrive même pas à comprendre quelle forme aura leur avenir.

Voilà pourquoi les pays et les lieux enlisés dans le chômage produisent de l’inertie. Il y a le côté moral puis le côté atavique (puisque de générations en générations) puis il y a l’argent qui manque, la nourriture, les soins de santé et le reste.

Cela justifie-t-il des exactions : oui.

Ceux qui n’ont pas, se défendent ou attaquent et le pugilat peut commencer.

Voilà pourquoi, une économie saine entraîne vers le haut et une économie défaillante vers le bas.

Tournons-nous vers l’Afrique, l’Amérique du Sud, l’Inde… Pour ne citer qu’eux…

Gandhi nous a prévenu et il a agit.

Le capitalisme ou le libéralisme, au fond, on s’en fiche. Le citoyen veut vivre et le mieux possible. Le reste, il s’aperçoit que d’un bord ou de l’autre, cela ne change en rien la nature profonde de l’être humain…

En 2024, que vivons-nous ?

Sylvie.Michèle.Briere-2024

Sylvie Michèle BRIERE.


Nous voici en 2020, RIEN NE VA PLUS !

On ne s’y retrouve pas et personne ne « voit » l’avenir. Au final, si le mot "peur" est dans toutes les têtes, il n’est pas question de l’écrire et encore moins de le prononcer.

Le chômage est une notion industrielle ou industrieuse lorsqu’il est provoqué par la main d’un patron. Mais là, nous sommes face une pandémie et elle nous fait l’effet d’une fin de monde, d’un monde, du monde !!

Il est question de GESTES BARRIÈRES… Et hop ! Tout reviendra, tout sera de nouveau dans le train-train du confort et des certitudes.

Le changement a pourtant du bon, il rajeunit et explore des contrées.

La jeunesse est celle que l’on ressent et pas seulement, celle qui habite nos artères. On le dit, on le sait et maintenant, il faut le prouver !

Et en 2024, que continuons-nous de vivre ?

Mai 2010 à ce jour, Informations Solidarité Conseils apaisés

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