Le capital santé lorsqu’il est présent à la naissance, s’entretient et se perfectionne tout au long de la vie.
On compte 272 500 malades en France, et 25 000 nouveaux cas se déclarent chaque année.
Contrairement à une idée reçue, la maladie de Parkinson n’est pas une maladie de personnes âgées puisque presque un malade sur deux est, diagnostiqué à 58 ans en moyenne, c’est-à-dire encore en âge d’exercer une activité.
Prévention par l’information calme, savoir n’est pas être malade !
Petit historique
La maladie de Parkinson a été décrite en 1817, par un médecin généraliste anglais James Parkinson où il fit 6 descriptions de symptômes cliniques d’une maladie dite de « paralysie agitante ».
En 1872, Pierre Charcot, le neurologue français, décrira avec plus de précisions la maladie.
Elle développe en 1er lieu un désordre moteur puis un désordre neurodégénératif. Elle n’a donc pas les mêmes sources que la maladie d’Alzheimer et elle est tout de même estimés être la seconde maladie la plus invalidante.
« Il n’existe pas de statistiques précises sur les Parkinsoniens en France aujourd’hui. La dernière étude sérieuse (source) date de 2000 et recensait 120 000 Parkinsoniens ». (Selon France Parkinson).
Les facteurs de risques sont :
- plus importants avec l’âge et dans le facteur âge, on ajoute les causes génétiques,
- le sexe masculin,
- L’exposition environnementale, comme l’exposition aux herbicides et aux pesticides, aux métaux (manganèse, fer…), etc.
- L’expérience de vie (traumatismes, stress, traits de personnalité telle que la dépression, etc.)
…/… Ceci est un résumé succinct et un survol des causes dont certaines sont encore mal appréhendées.
Quatre symptômes
- Tremblements
- Rigidité,
- Akinésie,
- Instabilité posturale.
Sans s’alarmer, sans se fixer sur les symptômes en les isolant les uns par rapport aux autres, il faut les considérer plus ou moins dans leur ensemble. Par exemple : une personne extrêmement courbée, marchant lentement peut simplement développer une maladie osseuse et non pas celle de Parkinson…
Evoquons aussi, la « Triade parkinsonienne » qui regroupe les trois principaux symptômes moteurs de la maladie : akinésie, rigidité plastique et tremblements de repos.
Les troubles associés
Dans les formes les plus avancées, outre les symptômes habituels, la maladie de Parkinson se complique parfois de confusion (le patient ne comprend plus la situation dans laquelle il se trouve, il est désorienté dans le temps et dans l’espace, il a des hallucinations, etc.), de troubles de la mémoire, voire de démence.
Évolution
Située 2e rang des maladies neurodégénératives après la maladie d’Alzheimer et autres démences, la maladie de Parkinson évolue lentement et se caractérise notamment par la perte progressive de neurones dans le cerveau.
A lire également :
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