La fête illustre une partie de ce sujet
Lorsque vous invitez une tablée à fêter votre anniversaire, vous n’imaginez pas la nuance verbale de votre invitation. Et pourtant, recevoir chez soi expose à une expérience qui se situe entre la convivialité et la volubilité.
La 1re est raisonnable et douce à chacun, y compris aux enfants.
La volubilité, elle, s’attache aux relations adultes qui inclus de se saouler et de s’abandonner à être saoul, par exemple.
Dans votre invitation, si vous avez glissé une petite phrase qui stipule « tenue correcte exigée » la fête sera conviviale et dites ennuyeuse. En ne précisant pas, les invités pourront s’imaginer « libre de tous droits ».
Il y a des mots qui organisent et des esprits qui s’approprient. Le silence couvre les deux et les actes suivent. On nomme cela l’intention.
Que nous inspire l’attractivité ?
En général, la pensée ira vers une idée de magnétisme, d’attirance, d’envie, de gourmandise, de tentation… Au final, le cerveau humain sera agité d’une inspiration, d’une sensation de plaisir. Il arrêtera ses réponses à une idée visuelle ou à une satisfaction olfactive ou une sensualité tactile. Il y aura un moyen de maîtrise et la relation addictive s’éliminera avec le souvenir d’une douceur furtive.
Quand une société joue autant avec les anges que les démons, l’Histoire dit que la situation est plutôt lourde. Il sera possible de prendre un ange pour le diable et inversement.
L’attractivité perdra subrepticement les ailes de la douceur de vivre.
L’avidité
En français, l’outil le plus courant en syntaxe est la phrase affirmative, négative et interrogative.
Je suis un enfant
je ne suis pas un enfant
Suis-je un enfant ?
Par cette méthode, il est possible de traduire plusieurs situations.
S’il est dit ou écrit « Je suis un enfant ? » La phrase prend une forme très imprécise.
Est-elle voulue ou une inadvertance ? Voulue, elle introduit un doute, une instabilité :
- je suis un enfant.
- Suis-je un enfant ?
Entre une affirmation et une interrogation, il y a la certitude. Pour une personne qui se sent dans l’attractivité de l’enfant, elle posera la question : « Es-tu un enfant, veux-tu dire ? »
Pour une personne dans la zone de l’avidité, elle manipulera la parole suivant son but. « Es-tu un enfant ou bien es-tu assez grand pour faire des trucs comme les adultes ? » Ou encore : « comme tu es un enfant, je dois me charger de ton bien. »
Ce sont des exemples de tournures que France Prévention La Suite comme vous, lecteurs, ont rencontré couramment et qui se glissent dans un quotidien où la part de temps pour réfléchir est courte. Mais au final, l’entendement retient les menaces cachées.
Le langage apaisé a beaucoup d’importance pour valider la relation commune à la société.
Si l’avidité se faufile sur tous les murs et dans toutes les oreilles, le mode concurrentiel pourra faire son travail de stress et de valeurs uniquement matérialistes, rapides et consommables.
Le cœur n’y sera pas une fois de plus et la porte de la déshumanisation sera poussée par un pied anonyme, en forme de sabot crotté !!
La douceur de vivre n’est pas le but de tous et de toutes. France Prévention La suite fait une erreur : la douceur de vivre est le but de tous et de toutes, sa définition jongle juste entre l’attractivité et l’avidité. Comme les mots sont volatiles, ils se trouvent mélangé dans la marmite de l’intention cachée !
Et « l’emberlificotage » qui suit inclus un ingrédient de bon droit car « je le vaux bien et que »… La fameuse auto-validation qui fait sauter tous les verrous.
France Prévention La Suite va encore entendre « de quoi tu te mêles, toi ». Eh ! Oui ! Je me mêle que mon pays doit rester un pays, pas un grand bazar de la mauvaise foi avide.
France Prévention La Suite est consultative et si vous lisez , votre curiosité l’a emporté.
Résumé
L’avidité pète l’attractivité et elle baigne dans l’insatisfaction chronique, affluenza oblige !
L’argent et l’affluenza - Santé mentale 2025
L’attractivité est une amoureuse dont les sens sont doux, agréables, longs dans les ressentis (peu périssables), chaleureuse au bon souvenir, bonne amie et conseillère, victorieuse sur les défauts, glorieuse sur l’Humanité…
Et l’avidité s’en fiche complètement car en quelques secondes elle peut exploser les bons mots, les belles intentions.
France Prévention La Suite se dit que l’être humain aime vivre dangereusement… Enfin pas tous les êtres humains car vivre dans la routine et la tranquillité est une attractivité de très grande qualité. 
Faut-il être assez fin et intelligent pour y parvenir.
Ce qui ne dit pas que les aventuriers sont une espèce avide qui avance grâce à un rouleau compresseur !
Ne pas
« Je ne suis pas un enfant » écrit « je suis pas un enfant » résonne comme une fragilité, une ignorance ou un je-m’en-foutisme… Mais cela ne valide pas la fermeté d’un passage : « je ne suis pas ». Cette négation indiquant un état qui installe l’élimination d’une situation. « Je ne suis pas » et donc, « je suis ».
Si France Prévention La Suite annonce : « je suis une association », elle positionne son cadre sociétal et sa fonction. En laissant un flou par « France Prévention la Suite est pas une association », le lecteur se dit qu’il y a une faute, l’écoutant lui, est entre deux interprétations.
Le retour
Je suis : affirmation
Je ne suis pas : négation
Suis-je ? : interrogation
Rien que sur la base de l’attractivité, de l’avidité et des 3 tournures grammaticales, le dialogue peut se rétablir.
Faut-il en avoir envie ?!
Envie : attractivité ou avidité ?
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Attractivité : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Avidité : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
 
