Locataires, propriétaires, mandataires - Réflexion

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Reprenons quelques situations :

1 - Le propriétaire, qui voit son bien squatté, peut faire constater à tous moments et l’intervention des forces de l’ordre devient immédiate.

2 - Faire échange de son bien duarnt les vacances : attention !! Y a-t-il véritable échange ? Que dit le droit sur ce sujet pour vous protéger ?

3 - Colocation et écrasement du propriétaire : attention au chantages sans fin envers le propriétaire, caché ou pas par une sympathie et une insertion sociale du colocataire. La technique de l’encerclement devient monnaie courante mais il existe aussi celle du rapport de force et bien des dérivés. Il faut moins de temps qu’on imagine pour être déboulonner par tout le monde. Et cela permet souvent de « régler des comptes » familiaux ou sociaux et le petit propriétaire se retrouve face à une peur pour sa vie, tout comme le malfaiteur pose son impunité. Les sujets de délitement du locataire (qui souvent a dormi dans sa voiture durant plusieurs mois) sont que le proprio est un marchande de sommeil, qu’il ne paie pas ses impôts, qu’il ne fait pas de baux, qu’il n’offre pas les mouchoirs en papier et le chauffage gratis toute l’année, qu’il ne laisse pas entrer tous les potes occasionnels, qu’il coupe l’eau ou l’électricité ou encore qu’il ne paie pas ses fournisseurs…

FINALITÉ : le petit revenu du propriétaire s’arrête là CAR IL NE LOUE PLUS = plus d’impôts collectifs, plus de locataires logés, plus de propriétaire protégé dans sa survie financière = participation à la chute de l’immobilier !!


La vigilance, les contrats correctement rédigés et l’inflexibilité face aux réglemente intérieurs imposés par le propriétaire.

Si le flux locatif est défectueux, posons les vraies questions et les véritables réponses. Les cibles ne sont pas toutes de véritables victimes possibles. Être âgé, seul, handicapé ou une femme, ne signifie pas : « open to date » à malversations et autres dénigrements, harcèlements et violences.

Ici, la fête des voisins devrait s’ouvrir aux mauvaises fêtes !!


France Prévention reçoit un grand nombre de témoignages qui parlent de colocations difficiles. Nos recommandations sont de signer des contrats conformes, de demander des garanties et de faire preuve de prudence face aux postulants, souhaitant imposer leurs propres règles. Des modèles de baux sont accessibles facilement et ils stipulent les règles de bases comme les cautions, l’enregistrement de l’identité mais aussi les réservations et les dégradations. Ces dernières sont autant matérielles que relationnelles. Les propriétaires seuls et/ou âgés et/ou au chômage font parfois l’objet d’intimidations. Les faits sont relatés autant dans les grandes villes qu’ailleurs et sur tout le territoire français, tous profils confondus locataires. Ici, il est question de la tendance immédiate et les locataires doivent aussi garder la prudence dans leur démarche. La crise est sévère et entrer dans un logement reste une priorité pour tous. Elle est légitime mais ne doit pas engager des passe droits car être propriétaire signifie majoritairement : avoir travailler dur et avoir besoin du loyer pour vivre. Bonne colocation à tous et toutes.


Prévention par une approche différente

Les courriers originaux comportent des noms et ils ont tous été envoyés pas courriers recommandés avec accusé de réception. L’évocation que Sylvie BRIERE est une vilaine dame, de mauvais voisinage et disgracieuse pour plein, plein de raisons, ne justifie en rien de non paiement de plusieurs loyers et de charges. Cela ne justifie pas, non plus, l’occupation de ma cour et les intimidations par une multitude de véhicules dedans. Les photos sont sauvegardées dans un coffre numérique. La dame et le monsieur n’ont jamais donné de réponse. Aucune, sauf dans la cour et là, il y a peut-être des enfants qui lisent… et je suis sûre que la brutalité et les insultes ne sont pas pour certains âges.

Les mauvais payeurs ont également le don de mentir ce qui est normal, pour eux. Ils font de l’intimidation au point que vous ne pouvez pas sortir de chez vous. Mais aussi, ils vous font passer pour fous ou folles. Cette pratique est logique car ils vous isolent par ce fait. Ils sont donc des délinquants et parfois dangereux. Voilà pourquoi, ils ont gain de cause . Mais faut-il leur laisser ?

Ce n’est pas nouveau que les moins riches sont mal logés. Ce sujet est très sensible car il touche l’humanisme et la relation à l’autre sur une échelle sociétaire. En France, pour parler de ce qui est le plus près, un jeune cherchant à se loger doit avoir une caution et/ou un salaire avec un contrat de travail en CDI. Les étudiants ont l’avantage de percevoir une allocation logement mais doivent disposer d’une caution. Les personnes à handicap perçoivent également cette même allocation. Les familles dites nombreuses ou mono parentales également.

Le plus courant est de payer un loyer plein pot. Il y a les aides des employeurs qui parfois viennent soulager les particuliers. On dit que les loyers sont chers. Cela revient depuis plus d’un siècle, de mémoire orale. Ils sont chers. Pour avoir droit à ce logement secourable, il y a beaucoup d’effort à produire et pour le garder également. - Les propriétaires (combien ?) sont stigmatisés comme de mauvaises personnes riches, voulant faire du profit. La question qui me vient est qui demande au boulanger de donner son pain ?

- Les propriétaires sont taxés de laisser à l’abandon leurs locataires. La question que je me pose est : le locataire signe un bail comprenant un après vente perpétuel ? Jusqu’à l’ampoule de la cuisine ? - Bien évidemment, il y a des propriétaires tout à fait difficiles car ils exploitent et profitent. Comme il y a des politiques (combien ?) qui se laissent aller à voler leur pays ; comme il y a des locataires (combien ?) qui volent leur propriétaire.

Seulement en entrant dans les lieux, on accepte et on signe un tas de papiers qui montrent l’état exact du logement et le coût. Alors comme dans tout, lorsque l’on fait un abus de droit, c’est un abus de droit et rien d’autre. Surtout dans le cadre de locataires mauvais payeurs, qui souvent sont de très mauvais voisins, les faits sont établis et flagrants !

1re Morale de l’histoire : les propriétaires auront confiance en leurs locataires et les locataires auront confiance en leur propriétaire lorsque les uns et les autres comprendront que à vouloir trop, on n’a plus rien.

La 2e morale de l’histoire ajoute que si les intermédiaires (les immo.) étaient plus raisonnables également, le gouvernement (comme on dit) n’aurait pas à légiférer tous les cinq minutes sur des acquis de plus de 50 ans de pratique.

La 3 ème morale de l’histoire enfonce en écrivant que si certaines personnes malhonnêtes vont jusqu’à menacer de mort pour pouvoir grappiller un loyer (parfois partiel puisque subventionné par les APL), c’est que ces personnes sont des délinquantes. Surtout si l’exercice se fait en « bande organisée » (clan familial ou amical ou les deux) et vers des personnes vulnérables par l’âge, la situation d’isolement, la maladie ou même la pauvreté (les revenus locatifs étant attendus pour vivre)… L’intention qui est là, n’est pas anodine. Les locataires qui usent de stratagèmes très élaborés comme les fausses déclarations, la diffamation et le harcèlement, le silence à tous courriers sont dans une intention de nuire. S’ils se mettent à exercer une activité professionnelle dans un logement, dans un local d’habitation simple, le propriétaire n’a QU’UNE seule solution pour ne pas être cautionné de receleur : il doit faire des démarches d’expulsion !

De plus, lorsque les locataires commettent des dégradations, ils sont dans la nuisance avec un de leurs pieds est dans la délinquance. S’ils rajoutent des atteintes aux biens (voitures, logements, boîtes aux lettres et courriers mais aussi dans l’organisation d’une réputation et d’intimidations perpétuelles…) de leurs propriétaires, ils sont dans l’acte. Ce qui sidère parfois le plus est lorsque la société cautionne, en montrant du doigt le propriétaire qui se défend. Ça fait désordre et les pauvres, il faut les comprendre… Qui se débarrasse d’un problème gênant ? Il y a URGENCE à légiférer sur les mauvais payeurs chroniques qui empêchent les locataires honnêtes (combien ?) de trouver un logement. Il y a URGENCE à légiférer sur les mauvais payeurs chroniques (combien ?) qui FONT GRIMPER LE PRIX DES LOYERS pour plusieurs raisons : 1 - on sélectionne ceux qui paient. 2- on se paie par avance les éventuels saccages en mettant les loyers chers. 3 - on ne prend moins de risques avec des personnes qui « se saignent » pour leur loyer. …/…

Et nous voici, de nouveau, en train de faire des injustices car les parents isolés ne sont pas tous des ploucs, les jeunes non plus et ainsi de suite… DONC UN STATUT DE MAUVAIS PAYEURS serait sans doute une bonne solution.

Et « mauvais payeurs » signifie plusieurs loyers ou charges de retards. Pas un décalage de 15 jours ou 1 mois et 3 semaines tous les 1 mois et 3 semaines car c’est une volonté de nuire, totalement prouvable par les relevés de banque devant un tribunal et uniquement un tribunal (secret bancaire), si un arrangement à l’amiable n’est pas trouvé. Bonne location à chacun et chacune.


Vous êtes propriétaire d’un appartement que vous louez ? Et bien sachez qu’un loyer élevé ne vous garantira pas un locataire parfait.

Tel est l’enseignement essentiel qui ressort d’un sondage réalisé par le site De Particulier à particulier (PAP) auprès de ses usagers. L’enquête dévoile par exemple que « les propriétaires qui ont volontairement mis leur bien en location à un prix attractif ont pour 66 % d’entre eux de bonnes relations avec son occupant ». Ce chiffre tombe à 55 % pour les propriétaires qui ont mis leur bien en location à « un prix correct par rapport à ceux en vigueur sur le marché », et à 42 % pour ceux qui déclarent pratiquer « un prix élevé ». Le Figaro du 30 novembre 2014.

Le propriétaire calcule dans son loyer, le temps de location, son amortissement au niveau de l’achat et des travaux, le lieu de location et bien d’autres choses. Les impayés et les dégradations sont considérés comme une source de manque à gagner et parfois effectivement, les classes « défavorisées » ou moins argentées (je préfère) sont considérées comme à risque. Comme écrit au début de cet article, la notion d’humanisme est malmenée à cet endroit. Par contre, en mettant le loyer à un certain niveau, le propriétaire se rassure. Il n’y a aucun cas de figure ni de profil précis du mauvais payeur et les assurances impayées sont très contrariantes en matières de remboursement.

Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

Mai 2010 à ce jour, Informations Solidarité Conseils


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