Les vendeurs en immobilier et leurs méthodes
Le particulier met en vente un bien immo au prix décidé par le vendeur spécialisé.
Le prix étant fixé par le professionnel sur la base d’une étude qui doit être équitable pour tout le monde.
Si le bien est à 190 000€, le contrat de vente stipulant parfaitement toutes les caractéristiques du dit bien et son prix à la vente avec ou sans frais d’agence… 190 000 pour atterrir à 100 000…
Pourquoi le vendeur (qui touchera une commission en fonction d’un pourcentage), pourquoi ne met-il pas le véritable prix palier où la vente sera réalisable ?
Comment justifie-t-on les deltas exponentiels ?
Pourquoi n’y a-t-il jamais de réponse à cette interrogation totalement légitime pour le propriétaire ?
Le propriétaire a en général un objectif incontournable qui consiste à être relogé ou à garantir son projet.
Si on lui offre au départ un smoking et qu’il se retrouve en short, signe-t-il une acceptation de vente ?
NON ! Ou alors, on compressera ceux qui sont dans la tourmente financière ou « on » (qui) veut saper les prix du marché.
Si toutefois, « on » se dit que c’est une nouvelle méthode de vente, posons le jalon suivant : « est-ce supportable ? »
2025 et l’explosion du nombre d’agents immobiliers
Il est étonnant que l’on puisse prendre un logiciel, entrer des critères de mesures, d’ancienneté, de diagnostics et tant pour sortir une évaluation de prix de vente.
Pourquoi étonnant ? Car il reste le vivant a évalué et ce vivant doit mesurer les goûts et les couleurs de l’époque de construction pour transposer sur les besoins réels et non décoratifs.
Seulement, lorsqu’un bien détient des caractéristiques incontournables et actualisés, il n’est pas question de les gonfler comme de les omettre. Cela demande du temps et du métier.
Les professionnels sortent de formation soit, mais il y a de le doigté, la courtoisie, l’expérience, la culture ou les connaissances générales qui font que l’on respecte toutes les parties : vendeur, acheteur et le propriétaire.
La frilosité du marché
« Les gens » ont peur de l’avenir, les banques ne prêtent pas facilement, le taux des crédits est…, la stabilité politique inquiète, l’inflation, l’augmentation des prix, les travaux coûtent chers, les vieux sont riches et les jeunes sont pauvres… La suite est longue et si l’on doit se fier aux certitudes de chacun, on est dans la panade !
Les plus jeunes disent que les vieux ont eu une chance qu’ils n’ont pas. Les idées reçues sont un moyen d’échapper à la réalité et les « vieux » ont beau expliqué que rien « n’est tombé tout seul », personne ne veut entendre.
Normal, on dispose d’une nouvelle strate sociale que l’on nomme « bobo » (sens élargi) qui présente tous les signes de richesse que l’on veut imposer aux yeux des autres.
La France est un pays riche, qui comme tous les pays avancés, a des pauvres et des « un peu moins pauvres » puis des « qui finissent le mois » puis les autres qui dorment en ayant fait un bon repas et qui se blottissent dans une chambre chauffée en hiver.
L’art de la généralisation et de l’envie des biens des « autres ».
Ok.
Les lois sont faites pour être appliquées, sans cela les deux hémicycles nous coûtent à tous bien trop cher.
J’dis çà… comme çà !