Mon expérience de coach en RPS

Le travail !

Une expérience qui vaut une force de travail et des attentions positives.

Partage de mon expérience de coach au sein de la société française

 

Introduction

Pendant plus de 25 ans, j’ai exercé en tant que coach puis j’ai fondé France Prévention en fédérant le concept de prévention sous un même concept d’information, conseil et solidarité.

Je suis intervenue auprès de toutes les couches sociales de la société française entre 1974 et ce jour.

Je suis une vétérant qui à vécu pas mal de mauvaises aventures parce que je suis une femme, une indépendante, une perspicace et que je la ferme tout en parlant.

La société est une machine, une mécanique et elle est peuplée d’individus qui s’identient aux machines, aux mécaniques.

Par contre, comme il y a encore les autres, les « ceux qui » sont faibles parce qu’ils aiment respirer l’odeur d’une fleur ou d’un vent en bord de mer ou de terre, il est impossible de les quitter facilement.

La notion d’altruisme doit-être introduite urgemment dans ce texte parce que personne ni croit plus lorsqu’on en rencontre un. Ils sont aussi précieux et indispensables que les abeilles.

Reprenons le coaching (anglicisme) et la société et le travail et le labeur et l’engagement et l’imbécilité parfois à être toujours sur ses pieds en regardant droit devant pour être sourd, aveugle et muet face à la méchanceté !

Car il y a la gentillesse.
Et elle est là.
Elle couve. Elle ne meurt pas.

L’humain n’est pas mon métier et pourtant !

J’ai démarré tôt dans la vie professionnelle et on m’a dit tôt « bouge de là » ou « tu n’es pas de ma bande » mais au fond qui a dit que je voulais faire partie d’une bande ?

Au fur et à mesure, j’ai acquis ce qui est réservé à « des pas comme moi ». Entre temps, j’ai appris que personne ne ressemble à personne ce qui m’a autorisé à renforcer ma solitude et sa résistance pour les jours où il fallait aller dans l’arène.

J’ai repris mes études ou plutôt je n’ai pas cessé d’apprendre car je n’avais rien d’autres à faire sur cette Terre. Je fais partie des individus qui ne s’ennuient jamais mais que la tournure de la vie ennuie profondément.
Parce qu’au bout de l’adolescence, j’ai compris que l’art principal de l’être humain débouche sur la férocité pour créer.

J’ai décidé de transmettre ce que j’apprenais et je l’ai toujours fait. Pas de revendication mais une grande fermeté devant la permanente transmission. La société a toujours entravé cette démarche. Elle préfère le viral, le pathétique, le féroce, le petit peps enfin, elle ne m’aime pas. Si on lui pose la question du pourquoi, l’étendard concurrence, argent ou jalousie sort. Banal, au fond.

Plein de « gens » estiment pouvoir se fichent de ma tête pratiquement tous les jours. Inébranlable, je fais le métier que j’ai choisi : je transmets.

Écoutez tous les « autres », ils reprennent péniblement des bribes de ce qui est écrit dans ce site.
Parfois, on les oblige à le faire et le matin, ils ont l’impression d’avoir picoler toute la nuit. Comme si on pouvait être en haut de la Tour Eiffel tout en étant en bas !

Ce phénomène existe pour toute personne qui possède un savoir et une méthode du savoir que l’autre n’a pas.
Parfois, on parle de communication. Personnellement, j’évoque le savoir et quand quelqu’un en sait plus que moi, j’ai un plaisir immense à l’écouter s’il me respecte également.

La société démocratique oriente sur un bien être et non sur les dictats. La loi ramène à la justice et à la sentence en cas de travers délinquants.

Voilà ce qu’est le coaching… Enfin, n’essayez pas tout seul avec cet article copier-coller dans votre portable. La recette n’est pas complète ! Faut pas pousser.

  Sylvie Michèle BRIERE, fondatrice

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